Blog

Octobre 1979

Le 23/10/2025

Un nouveau club de tennis intérieur : Avantage

Après Montcalm et Tennisport, Québec sera dotée dans les années 1970 d'un troisième complexe de tennis intérieur. Un projet important est lancé au printemps de 1979, sous le nom de club Avantage. Il va doubler l'offre de ce type de terrains que les amateurs de Québec ont attendu durant des décennies. Une nouvelle impulsion est donnée à ce sport.

7 juillet 1932

Le 07/07/2025

Le parfait spectateur de tennis

Le 7 juillet 1932, L'Action catholique publie une « définition du parfait spectateur de tennis »,
telle qu'établie  par « un expert parisien ».

Jean Marois, entrepreneur

Le 02/06/2025

[Section précédente: Jean Marois, organisateur]

Après avoir fait sa marque comme athlète puis comme organisateur, Jean Marois va endosser le rôle d'entrepreneur afin de combler un besoin : remplacer les terrains disparus du club des Employés civils. Non seulement il participe à la création d'un nouveau club, mais va rapidement faire évoluer celui-ci. De nouvelles installations vont abriter des courts de tennis intérieurs. D'abord sous la forme d'une bulle gonflable, le projet va évoluer vers une installation permanente à la plage du Foulon, près du Club de yacht de Québec. C'est le club qui existe toujours en 2025 sous le nom de Montcalm.

Cet aspect de son action complète le legs important qu'il laisse dans l'évolution du tennis à Québec.

Jean Marois, organisateur

Le 03/04/2025

[Section précédente : Jean Marois athlète]

Non content de pratiquer le tennis avec talent, Jean Marois va aussi s'impliquer dans la gestion du sport. Il siège au conseil de direction des clubs dont il est membre, puis dans les associations régionales et provinciales. Il contribue à la transmission du savoir en s'engageant dans la formation des jeunes joueurs et même des instructeurs. Enfin, comme administrateur, il participe activement à la conception et à la réalisation de tournois internationaux qui vont, pendant une décennie, attirer à Québec la crème du tennis mondial : le Rotation et le Rothmans.

Janvier 1970

Le 28/01/2025

Enfin, de vrais terrains de tennis intérieurs!

En janvier 1970, une nouvelle silhouette apparaît dans le ciel de la ville de Sainte-Foy. Le Pavillon de l'Éducation physique et des sports (PEPS) commence à s'élever sur le campus de l'université Laval. Le projet, d'un coût de 7 250 000$ a été financé en partie par une souscription et il doit être complété pour septembre. Il comptera, entre autres installations, trois terrains de tennis dans le stade couvert(1).

5 janvier 1950

Le 08/01/2025

Un premier tennis intérieur à Québec

Le 5 janvier 1950, après plusieurs décennies d'attente, les joueurs de tennis de Québec peuvent enfin commencer à pratiquer leur sport durant l'hiver : un tennis intérieur a été aménagé au Centre paroissial de Limoilou. L'objectif avoué des responsables de ce projet est de « produire dans quelques quelques années des joueurs pouvant espérer représenter notre ville et notre pays dans les séries de la coupe Davis ». Ce tennis intérieur va servir pendant près de vingt ans avant que des installations permanentes abritent des espaces spécialement consacrés à la pratique de ce sport.

Jean Marois

Le 10/09/2024

Jean Marois est demeuré un personnage central dans le paysage sportif de Québec pendant près de quatre décennies. À partir de la fin des années 1930, au hockey l'hiver et au tennis l'été, il endosse non seulement le rôle d'athlète, mais ensuite celui d'organisateur et finalement d'entrepreneur. Il sera actif dans le monde du tennis jusque vers la fin de années 1970(1).

Haro sur le cheval

Le 08/05/2024

Des chevaux en trop

[Section précédente : Un moteur de changement social]

Quarante ans près l'introduction d'environ quatre-vingt chevaux en Nouvelle-France, l'administration coloniale semble croire qu'on a fait fausse route – en partie du moins. Le troupeau a atteint à ce moment plus de 10% de la population humaine (1872 contre 16 417). Les chevaux sont répartis dans toutes les couches de la société et ont contribué à développer chez les habitants des façons de conduire audacieuses et un comportement qui tranchent avec ceux de la France métropolitaine.

Aussi, les autorités, tant à Paris qu'à Québec, vont glisser vers une nouvelle approche à l'égard de l'animal. On considère qu'il y a désormais trop de chevaux dans la colonie. Leur nombre et leur usage sont considérés comme nuisibles économiquement et surtout stratégiquement, puisque leur entretien coûte cher et que les gens perdraient l'habitude de circuler à pied. C'est pourquoi apparaissent graduellement des mesures pour restreindre la prolifération de ces animaux ou, si cela ne suffit pas, pour entreprendre l'opération extrême : faire tuer les chevaux en surplus.